Super endroit qui a une âme.
Un super lieu pour ceux qui aiment entretenir leur belle moto dans un esprit qui semble hyper solidaire et convivial.
Cigare friendly c’est sympa.
Garage coopératif pour réparer sa moto. Des outils technique, des conseils précieux. Une équipe toujours présente prête à aider. Un espace co-working à l'étage. Possibilité de manger un bout et de boire un coup. Un lieu précieux et convivial que je recommande à tous de découvrir. Amateur ou non de belles et vieilles moto ou non.
La Forge, un lieux unique en région Parisienne.
Atelier participatif, des emplacement moto pour stationnement et un barber shop, formule d'accès a l'atelier pour faire soi-même de la mécanique moto.
Passage imprévu suite à un déraillement et une chaîne de vélo coincée, j'ai découvert cet atelier magnifique et la collection de motos entreposée sur place. Accueil super et petit coup de pouce pour me remettre en selle en quelques minutes. Merci beaucoup !
Ce n'est pas qu'un garage pour moto, c'est aussi une ambiance, un "musée", un barber shop, un espace pour belles mécaniques et une super équipe. un lieu qui mérite d'être connu. Si vous voulez réparer votre moto, faire l'entretien ou tout simplement faire toutes sortes de modification, c'est le lieu où aller. Je recommande.
V à tous
Très beau endroit, un garage vraiment atypique. Le plus on rentre les plus on a des belles surprises... Belles motos anciennes, des passionnés, un barbier, un bar/café avec petite terrasse en haut... Belle expérience !
Passé aujourd'hui et super accueil, le lieu est bien pensé ! C'est autant un lieu pour garer votre moto "secondaire" qu'un garage pour bricoler, avec tous les outils métrique pour, et quelqu'un en pouces, un café pour passer du temps à réfléchir à son projet, échanger avec d'autres passionnés.
Super lieu pour :
- garer sa moto
- avoir accès à l'atelier afin de faire des propres entretiens si on le souhaite
- un étage pour se poser et réfléchir sur ses futurs prépa
- un bar pour se rafraîchir
- des Afterworks (pause avec le COVID)